Ce commentaire en provenance d’un lecteur fait suite au texte « Le nerprun dans la mire d’une expertise de Cookshire-Eaton », paru le 6 mai.
Associé à la présence du chevreuil qui bouffe toutes les autres essences qui regénèrent, ce n’est ni plus ni moins qu’une catastrophe écologique. Les fonctionnaires des ministères de l’Environnement et des Ressources naturelles se sont fermés les yeux et les oreilles. Ça fait depuis la fin des années 80 qu’on leur rapporte la présence dans la MRC.
Il y a aussi dans le Haut-Saint-François la présence de la renouée et du phragmite. Pour ce dernier, les municipalités se doivent d’adopter rapidement un protocole de disposition de la terre d’excavation des fossés dans laquelle on la retrouve.
Jean Tremblay, Cookshire-Eaton